5 expos y sont regroupées. Toutes visibles jusqu'au 25 septembre.
1/ J'ai commencé par Xavier Lambours et ses portraits (au sous-sol).
Des noirs et blancs très doux, des portraits atypiques de gens connus comme DSK, De Niro, Chirac... ou des anonymes. Il y a aussi des photos de nus en couleurs, plus floues, plus voluptueuses....
2/J'ai complètement zappé le Xavier Fourtou (Rdch) et ses portraits brésiliens. Et je suis dégoûtée parce que, c'était que des graphes. En gros, ça donne quelque chose comme ça :
"Dans le quartier de Villa Madalena, à São Paolo, il y a un endroit totalement envahi de magnifiques graffitis très colorés, j'ai photographié tous les visages que j'y ai trouvés."(cf. MEP)
3/Ensuite au premier étage, il y a les photos du bimestriel "de l'air". Le magazine a fêté ses dix ans l'année dernière.
"À travers cette exposition, une première pour la majorité des auteurs montrés, de l'air réunit une génération qui dépasse les clivages et passe à travers les âges. Avec elle, nous partageons un parti pris, l'envie de vivre la photographie, selon les mots d'un collectif ami, Tendance Floue, 20 ans cette année et dont nos pas se croisent depuis onze ans maintenant."(cf. MEP)
4/ Au deuxième étage il y a une rétrospective sur Jane Evelyn Atwood, de 1976 à 2010. L'expo regroupe 35 années de travail, 200 tirages regroupés en 6 séries majeures : les prostitués, les aveugles, les femmes en prisons, Jean-Louis/Vivre et mourir du Sida, les victimes des mines antipersonnel et Haïti. Toutes les photos ont un commentaire de l'artiste qui nous fait partager sa colère, sa passion, son amour des gens ...
femme condamnée à vie pour avoir tué son mari qui abusait d'elle |
Centre pour aveugles |
Haïti |
5/ Dernier étage, L'ombre de la guerre, regroupe 90 photographies les plus marquantes du reportage de guerre. Je n'ai pas pris de photos. Beaucoup sont très connues et ont pas mal circulé dans nos livres d'histoire ou dans les journaux. Chaque photo est accompagné d'un mot du photographe qui explique dans quels contexte il a pris la photo... C'est poignant, violent et usant (mais à faire !)
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