jeudi 9 février 2012

Les trouvailles dBD 60

Ce week-end, j'ai découvert le magazine papier dBD. Un magazine super beau qui recense toute l'actualité du monde la BD. On va pas se leurrer : il coûte un rein... Mais il est tellement aboutit et complet que ça les vaut largement.

Dans le numéro 60, j'ai découvert une moulitoude de trésors, pour les prochains mois !!
Je vous ai mis une sélection de ce qui m'a intrigué, attiré, émoustillé : vous m'en direz des nouvelles !



Mercenaire de l'espace, le Showman est un super-assassin né de l'imagination démoniaque d'un généticien. Dénué de toute émotion, formé à l'art des combats, il a été conçu pour tuer et seul l'or ou les joies simples propres à la mécanique de destruction lui procurent du plaisir. Pourtant, le destin de l'implacable Showman prend une nouvelle tournure quand il croise, lors d'une mission, la fascinante Ibis...

On reconnaît bien le style de Jodorowsky ( cf. Les Technopères). A la fois lisse et très détaillé... Ça ne serra pas forcément un coup de coeur mais l'intrigue me plaît.






Quand un dessinateur fan de rock rencontre un rocker fan de bandes dessinées, l'alchimie fait des étincelles !
BD et CD, le tout-en-un, le mariage parfait et rêvé de tout fan de rock et de dessin.
L'aventure promet d'être fofolle... mais par contre, pour quelqu'un comme moi, qui lit dans le métro et qui a laisser tomber le baladeur CD... ça conditionne l'endroit.














 ll n'y a qu'un seul Tampographe. C'est une des particularités de cette profession. C'est comme pour le Pape, ou le Père Noël, ou le Monstre du Loch Ness. Il n'y a qu'un seul poste à pourvoir.
Vincent Sardon est tampographe. Il crée des tampons et il rouspète. C'est ce qu'il fait de mieux. Ses tampons sont des jeux graphiques qui renouvellent de fond en comble le genre moribond et ringard de la gravure, ses poussées de haine sont le prétexte à des textes autobiographiques hilarants qui traitent de la vie d'artiste en milieu hostile.

L'Association est fier de publier le journal de la création du Tampographe Sardon, qui raconte quatre années de production artistique, de mauvaises vibrations et de vie d'atelier avec : tous ses tampons créés depuis 2007, ses billets d’humeur, et son blog.

Quels sont les ustensiles indispensables à tout cuisinier qui se respecte ? Où trouver l'ail des ours ? Que faire de nos amies les courges ?
Pour Guillaume Long, la cuisine est un art de vivre. In nous a donc concocté un livre ludique avec les réponses à nos questions, et nous donne plein d'astuces recettes en bande dessinée.

Ce livre regroupe toutes les notes, recettes, anecdotes, portraits... imaginés pour son blog gastronomique.
La cuisine pour tous, racontée avec humour par un auteur de bande dessinée.. J'aime l'idée.






Morphine est une curieuse petite fille. Elle chasse d'étranges créatures appelées « Chimères ».
Mais la capture d'une chimère supérieure à toutes les autres : un « Grand Sphynx » s'accompagne, pour Morphine, d'étranges visions. Elle voit des papillons de nuit, avec un œil sur l'abdomen qui gravitent autour d'elle.
C'est en surmontant les visions qui la hantent, qu'elle apprendra qui elle est vraiment... ? 


Apparemment d'inspiration Miyazaki et David Lynch... ça promet.






Le Jazz avant tout, le jazz par-dessus tout. Boris Vian, figure mythique de la littérature française fut avant tout un amoureux du jazz. Henri Salvador disait de lui : « Il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n’entendait, ne s’exprimait qu’en jazz ». Sous le crayon de José Correa renaissent les multi-facettes de cette personnalité hors du commun : poète, parolier, auteur de romans, de pièces de théâtre, écrivain, critique musical, chanteur, musicien.
José Correa est l’auteur de deux précédents Petits Carnets : Céline  et Rimbaud.
Je suis pas fan de jazz, je n'ai jamais réussi à terminer un livre de Vian... mais je trouve le coup de crayon de Correa tellement canon que je veux bien me laisser apprivoiser !


Et voilou !!






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