Ce week-end, j'ai découvert le magazine papier dBD. Un magazine super beau qui recense toute l'actualité du monde la BD. On va pas se leurrer : il coûte un rein... Mais il est tellement aboutit et complet que ça les vaut largement.
Dans le numéro 60, j'ai découvert une moulitoude de trésors, pour les prochains mois !!
Je vous ai mis une sélection de ce qui m'a intrigué, attiré, émoustillé : vous m'en direz des nouvelles !
Mercenaire de l'espace, le Showman est un super-assassin né de
l'imagination démoniaque d'un généticien. Dénué de toute émotion, formé à
l'art des combats, il a été conçu pour tuer et seul l'or ou les joies
simples propres à la mécanique de destruction lui procurent du plaisir.
Pourtant, le destin de l'implacable Showman prend une nouvelle tournure
quand il croise, lors d'une mission, la fascinante Ibis...
On reconnaît bien le style de Jodorowsky ( cf. Les Technopères). A la fois lisse et très détaillé... Ça ne serra pas forcément un coup de coeur mais l'intrigue me plaît.
Quand un dessinateur fan de rock rencontre un rocker fan de bandes dessinées, l'alchimie
fait des étincelles !
BD et CD, le tout-en-un, le mariage parfait et
rêvé de tout fan de rock et de dessin.
L'aventure promet d'être fofolle... mais par contre, pour quelqu'un comme moi, qui lit dans le métro et qui a laisser tomber le baladeur CD... ça conditionne l'endroit.
ll n'y a qu'un seul Tampographe. C'est une des particularités de cette
profession. C'est comme pour le Pape, ou le Père Noël, ou le Monstre du
Loch Ness. Il n'y a qu'un seul poste à pourvoir.
Vincent Sardon est tampographe. Il crée des tampons et il rouspète.
C'est ce qu'il fait de mieux. Ses tampons sont des jeux graphiques qui
renouvellent de fond en comble le genre moribond et ringard de la
gravure, ses poussées de haine sont le prétexte à des textes
autobiographiques hilarants qui traitent de la vie d'artiste en milieu
hostile.
L'Association est fier de publier le
journal de la création du Tampographe Sardon, qui raconte quatre années de
production artistique, de mauvaises vibrations et de vie d'atelier avec :
tous ses tampons créés depuis 2007, ses billets d’humeur, et son blog.
Quels sont les ustensiles indispensables à tout cuisinier qui se
respecte ? Où trouver l'ail des ours ? Que faire de nos amies les
courges ?
Pour Guillaume Long, la cuisine est un art de vivre. In nous a donc concocté un livre ludique avec les
réponses à nos questions, et nous donne plein d'astuces recettes en bande dessinée.
Ce livre regroupe toutes les notes, recettes, anecdotes, portraits... imaginés pour son
blog gastronomique.
La cuisine pour tous, racontée avec humour par un auteur de bande dessinée.. J'aime l'idée.
Morphine est une curieuse petite fille. Elle chasse d'étranges créatures appelées
« Chimères ».
Mais la capture d'une chimère supérieure à toutes les
autres : un « Grand Sphynx » s'accompagne, pour Morphine,
d'étranges visions. Elle voit des papillons de nuit, avec un œil sur l'abdomen qui
gravitent autour d'elle.
C'est en surmontant les visions qui la hantent, qu'elle apprendra
qui elle est vraiment... ?
Apparemment d'inspiration Miyazaki et David Lynch... ça promet.
Le Jazz avant tout, le jazz par-dessus tout. Boris Vian, figure mythique
de la littérature française fut avant tout un amoureux du jazz. Henri
Salvador disait de lui : « Il était un amoureux du jazz, ne vivait que
pour le jazz, n’entendait, ne s’exprimait qu’en jazz ». Sous le crayon
de José Correa renaissent les multi-facettes de cette personnalité hors
du commun : poète, parolier, auteur de romans, de pièces de théâtre,
écrivain, critique musical, chanteur, musicien.
José Correa est l’auteur
de deux précédents Petits Carnets : Céline et Rimbaud.
Je suis pas fan de jazz, je n'ai jamais réussi à terminer un livre de Vian... mais je trouve le coup de crayon de Correa tellement canon que je veux bien me laisser apprivoiser !
Et voilou !!
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